Pochette de l'album Philippe DeBarge.
Pochette de l'album Even More Electric Banana.

De l’aveu de Phil May, les paroles d’Alexander lui ont été inspirées par le Quatuor d’Alexandrie (The Alexandria Quartet), une série de quatre romans de l’écrivain britannique Lawrence Durrell publiés entre 1956 et 1960. Ils prennent place dans la ville égyptienne d’Alexandrie dans les années 1940 et proposent de suivre une série d’événements à travers le regard de différents narrateurs, un pour chaque roman. Le Balthazar et le Mountolive cités dans les paroles sont deux des personnages principaux du Quatuor.

Bien qu’elle n’apparaisse sur aucun des albums officiels des Pretty Things, Alexander est certainement l’une de leurs toutes meilleures chansons, un orage psychédélique violent et déroutant. Ce n’est pas par hasard qu’elle figure toujours dans leur répertoire scénique en ce début de 21e siècle !

Paroles

Eastern shores, they seem so full of promise
Minarets, they lacerate the skyline
On pulsing seas we drift into the harbour
Gulls, they dive with screams of Alexander

You’re loving me, love the Fire God
You’re loving me, love the Fire God
You’re loving me, love the…

Balthazar consults his book of numbers
Buildings jangle with the children’s laughter
Mountolive gathers sighs on distant beaches
A woman’s face dissolves, I hear her screeches

You’re loving me, love the Fire God
You’re loving me, love the Fire God

Poet dies, stabbed with the knife of words
Young girl marries with bouquet of letters
One life explodes and slides into the sea
The city lies buried beneath the curses

You’ll only kneel at the Fire God
You’ll only kneel at the Fire God
You’ll only kneel at the Fire God


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