Critique de Freeway Madness dans le numéro 72 de Rock & Folk (janvier 1973).
PRETTY THINGS. Un retour à saluer chapeau bas, et par ceux qui ont aimé ce groupe hors du commun, et par ceux qui le découvriront demain. Toujours emmenés par l’étonnant Phil May, les Pretty Things proposent aujourd’hui une musique qui, si elle est mieux façonnée que par le passé, a conservé cette force jaillissante et le côté sale qui firent sa popularité. Un méchant groupe de rock anglais, comme on n’en fait plus ; écoutez « Havana Bound », on jurerait les Stones il y a six ans (« Freeway Madness » – Warner).