When the Raving Had to Stop…

Cet article de Richard Green est paru dans le numéro 253 de l’hebdomadaire britannique Record Mirror, daté du 15 janvier 1966. Les Pretty Things se seraient-ils rangés ? C’est ce que semble croire le journaliste, mais il n’en est rien, bien entendu. Même si l’incontrôlable Viv Prince ne fait plus partie du groupe, les autres n’ont pas dit adieu à leurs nuits de débauche. C’est d’ailleurs le sujet de leur dernier single, Midnight to Six Man.

Pop and the Public: A Melody Maker Investigation

Cet entretien avec Viv Prince est paru dans l’hebdomadaire britannique Melody Maker daté du 25 septembre 1965. Comme dans les pages du concurrent Record Mirror (voir Viv: It’s All Lies!), le batteur fou s’efforce de rétablir la vérité (la sienne, en tout cas) concernant les folles rumeurs qui entourent la tournée donnée par les Pretty Things en Nouvelle-Zélande quelques semaines plus tôt. À l’en croire, leur comportement fut parfaitement innocent, et c’est la faute des jaloux et des gens qui n’aiment pas les cheveux longs si le groupe a si mauvaise réputation…

Viv—“It’s All Lies”

Cet article de Norman Jopling est paru dans l’hebdomadaire britannique Record Mirror daté du 23 septembre 1965. Le batteur fou des Pretty Things, fraîchement rentrés de leur tournée en Nouvelle-Zélande tient à remettre les pendules à l’heure sur les rumeurs toutes plus folles les unes que les autres qui entourent cet épisode déjà légendaire.

Pretty Things—Last of the Long Hair Groups?

Cet article non signé est paru dans le numéro de l’hebdomadaire britannique Disc Weekly daté du 31 juillet 1965. Défiant comme toujours, Phil May proclame qu’il ne changera jamais… un engagement tenu jusqu’au bout.

The Pretty Things—A Symbol of Tomorrow

Cet article de Vicky Trent est paru dans l’hebdomadaire britannique Pop Weekly daté du 17 juillet 1965. Prédire un futur radieux aux Pretty Things à cette date, il fallait oser ! Mais ça démontre bien l’injustice que constitue leur perpétuel manque de succès commercial après le milieu des années 1960.

We Don’t Care If People Stare!

Cet article de Penny Valentine est paru dans l’hebdomadaire britannique Disc daté du 27 mars 1965. La journaliste a l’occasion de papoter avec Dick Taylor et un peu avec John Stax, les autres Pretty Things étant aux abonnés absents lors de sa visite. Phil May a appelé pour dire qu’il était à l’hôpital, mais Dick est certain que c’est un bobard et qu’il fait juste la grasse matinée…

Pretty Things Having a Smashing Time

Cet article non signé est paru dans l’hebdomadaire britannique Music Echo daté du 20 mars 1965. Sous ce titre à l’humour un peu noir se cachent des histoires d’accidents de voiture à répétition.

Why the Things Like Their Hair…

Cet article de David Griffiths est paru dans le numéro 227 de l’hebdomadaire britannique Record Mirror, daté du 17 juillet 1965. Dick Taylor et Phil May doivent évidemment répondre aux habituelles questions capillaires, mais ils ont aussi l’occasion d’évoquer leurs projets d’avenir, comme propriétaires d’une boutique de prêt-à-porter pour femmes à Londres ou d’un bar à Tanger… On retiendra ces paroles prophétiques de Phil : « Quand je me suis lancé dans le show-business, c’est parce que je ne voulais pas d’un job dans la demi-mesure. Je voulais soit un succès énorme, soit un échec abject. »

Pretty Thing Viv Recalls

Cet entretien avec Viv Prince, conduit par Cordell Marks, est paru dans le numéro 948 de l’hebdomadaire britannique New Musical Express, daté du 12 mars 1965. Le batteur fou revient sur ses débuts dans des petits groupes de skiffle et de jazz, son séjour de quelques mois en Scandinavie, puis son retour en Angleterre et son recrutement par les Pretty Things, dont le premier 33 tours vient tout juste de paraître.

Pretty Things Do Cut It Now!

Cet article de Nigel Hunter est paru dans l’hebdomadaire britannique Disc daté du 27 février 1965. L’annonce de la sortie du troisième 45 tours des Pretty Things est l’occasion de se moquer à nouveau de la longueur des cheveux des membres du groupe. Révélation scandaleuse : après avoir envisagé de se les laisser pousser pendant toute une année sans y toucher, Viv Prince a craqué et se fait régulièrement couper les pointes. Oh là là !