They’re Moving Up the Thirty… Now They Tell You What They’re Really Like

Cet article non signé est paru dans le numéro 347 de l’hebdomadaire britannique Disc, daté du 14 novembre 1964. Une colonne typique des magazines pour adolescent(e)s : les profils des membres du groupe en vogue du moment. Celle-ci est tout de même d’un niveau un peu plus élevé que la moyenne : vous y découvrirez que les Pretty Things avaient des goûts étonnamment raffinés en termes de musique, de cinéma, de littérature et même de nourriture !

The Things Hit Back!

Cet article de Norman Jopling est paru dans le numéro 206 de l’hebdomadaire britannique Record Mirror, daté du 20 février 1965. Comme d’habitude, c’est l’apparence des Pretty Things qui sert d’accroche, mais le journaliste a l’honnêteté de reconnaître qu’ils ne sont pas totalement dépourvus d’intelligence. L’article annonce également la sortie prochaine de leur premier 33 tours.

Group of the Month: The Pretty Things

Cet article non signé est paru dans le numéro 20 du mensuel britannique Beat Instrumental, daté de décembre 1964. Le magazine a choisi d’honorer les Pretty Things du titre de « groupe du mois » à la suite du succès du single Don’t Bring Me Down.

Things Are Getting Hectic!

Cet article de Peter Thomson est paru dans le numéro 348 de l’hebdomadaire britannique Disc, daté du 21 novembre 1964. Pauvre Phil May : harcelé par les fans du groupe, qui lui volent ses chaussures et déchirent ses vêtements, il est obligé de renouveler constamment sa garde-robe !

Pretty Fantastic Things…

Cet article non signé est paru dans le numéro 11 (3e année) de l’hebdomadaire britannique Pop Weekly, daté du 7 novembre 1964. Forts du succès de leur deuxième single, Don’t Bring Me Down, les Pretty Things semblent promis à un avenir radieux : les promoteurs se les arrachent et leurs fans sont de plus en plus nombreux. Mais peuvent-ils se faire une place sur un créneau déjà occupé par les Rolling Stones ?

Pretty Bans

Cet article de Kevin Swift est paru dans le numéro 17 du mensuel britannique Beat Instrumental, daté de septembre 1964. Les Pretty Things annoncent leur intention d’écrire leurs propres chansons de rhythm and blues, en s’inspirant comme les vieux bluesmen de leur vécu. D’où des titres comme « le blues du restaurant fermé » (parce qu’aucun restaurateur n’accepte de les laisser entrer) ou « le blues des cheveux longs » (parce que c’est à cause de ça qu’aucun restaurateur n’accepte de les laisser entrer).

Adults Hate Us More Than Stones

Cet article de Peter Jones est paru dans le numéro 18 de l’hebdomadaire britannique Record Mirror, daté du 18 septembre 1964. « Les adultes nous haïssent davantage que les Stones », tout un programme ! Et pourtant, les Pretty Things restent très populaires chez les jeunes Britanniques, qui viennent en masse à leurs concerts. Peter Jones leur prédit un brillant avenir, même si leur prochain disque se fait attendre.

Pretty Things Don’t Care

Cet article non signé est paru dans le numéro 18 du mensuel britannique Beat Instrumental, daté d’octobre 1964. Phil May et Viv Prince s’affirment comme les porte-paroles du groupe. Ils proclament haut et fort qu’ils s’en fichent que les adultes ne les aiment pas, mais qu’ils demandent juste un peu plus de respect qu’ils n’en reçoivent de leur part. Leur deuxième single s’est fait attendre (« trop de travail, pas assez de bons morceaux » d’après Viv), mais sa sortie ne saurait tarder et Phil espère bien que ce sera un énorme carton.

Pretty Things Not Too Way Out

Cet article de Penny Valentine est paru dans le numéro 326 de l’hebdomadaire britannique Disc, daté du 20 juin 1964. Cette brève présentation des Pretty Things précise que malgré les apparences, ils se lavent les cheveux tous les jours et portent des habits très coûteux. Leur réputation de sauvageons n’a pas eu d’effet négatif sur le succès de leur premier single, Rosalyn, sorti quelques semaines plus tôt.