- Auteurs : Phil May, Dick Taylor, Wally Waller
- Album : S. F. Sorrow (1968)
- Durée : 2 min 43 s
- Éditeur : Lupus Music
- En concert :
- Resurrection (1998)
- The Final Bow (2019)
- Compilations :
- Introducing The Pretty Things (2013)
- Greatest Hits (2017)
- Reprises :
- The Gathering Grey sur l’album Sorrow’s Children (2012)
Comme « S. F. Sorrow » est en partie autobiographique, les sentiments exprimés dans cette chanson m’appartiennent. Quand votre confiance en quelque chose est rompue, ça vous touche au plus profond de votre être et ça remet en question vos croyances.
Phil May, Greatest Hits
Paroles et traduction
Excuse me please as I wipe a tear
Away from an eye that sees there’s nothing left to trust
Finding that their minds are grey
And there’s no sorrow in the world that’s left to trust.
Sitting on top of a white cloud
Looking round for someone there to trust
Changing your mind as you go through time
You grasp at straws
There are written laws that say you must
With tired eyes you follow the man
That has in his hand a banner that says ‘dust to dust’
Finding that his mind’s gone wrong
And there’s no sorrow in the world that’s left to trust.
Sitting on top of that white cloud
Looking round for someone there to trust
You’re changing your mind as you go through time
You grasp at straws
There are written laws that say you must.
Going away in the morning
You’re seen walking.
You’re going away, away
Going away.
As the sun is rising
You’re seen walking.
You’re going away, away
Going away.
Excuse me please as I wipe a tear
Away from an eye that sees there’s nothing left to trust
Finding that their minds are grey
And there’s no sorrow in the world that’s left to trust.
Sitting on top of that white cloud
Looking round for someone there to trust
Changing your mind as you go through time
You grasp at straws
But there are written laws that say you must
Excusez-moi, le temps d’essuyer une larme
Coulant d’un œil qui voit que plus rien n’est digne de confiance
Découvrant que leurs esprits sont gris
Et qu’il n’y a plus de chagrin en ce monde digne de confiance
Assis sur un nuage blanc,
Tu cherches à la ronde quelqu’un digne de confiance
Tu changes d’avis avec le passage du temps
Tu luttes contre des moulins à vent
Des lois écrites disent que tu le dois
Le regard las, tu suis l’homme
Qui tient dans la main une pancarte « de la poussière à la poussière »
Tu découvres que son esprit a mal tourné
Et qu’il n’y a pas de chagrin en ce monde digne de confiance.
Assis sur un nuage blanc,
Tu cherches à la ronde quelqu’un digne de confiance
Tu changes d’avis avec le passage du temps
Tu luttes contre des moulins à vent
Des lois écrites disent que tu le dois
Parti un beau matin,
On te voit marcher.
Tu t’en vas, tu t’en vas
Tu t’en vas.
Le soleil se lève
Et on te voit marcher.
Tu t’en vas, tu t’en vas
Tu t’en vas.
Excusez-moi, le temps d’essuyer une larme
Coulant d’un œil qui voit que plus rien n’est digne de confiance
Découvrant que leurs esprits sont gris
Et qu’il n’y a plus de chagrin en ce monde digne de confiance
Assis sur un nuage blanc,
Tu cherches à la ronde quelqu’un digne de confiance
Tu changes d’avis avec le passage du temps
Tu luttes contre des moulins à vent
Mais des lois écrites disent que tu le dois
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