Talkin’ About the Good Times

Pochette du 45 tours Talkin' About the Good Times / Walking Through My Dreams.

Ce deuxième single pour EMI est aussi représentatif de la fin des Sixties que Barbarella. Il y a pas mal de sons qu’on a utilisés sur « S. F. Sorrow » : le sitar, les harmonies compactes, le mellotron, les figures de guitare avec plusieurs cordes à l’unisson et une gamme mixolydienne à la fin, un vrai petit tour de force.

Dick Taylor, Greatest Hits

Loneliest Person

Pochette de l'album S. F. Sorrow

Old Man Going

Pochette de l'album S. F. Sorrow

Pour moi, la basse est la meilleure partie de cette chanson, mais il s’y passe tellement de choses ! Elle m’évoque des souvenirs du temps passé avec Norman à mettre sur pied le solo de guitare et le fabuleux son en crescendo qui y conduit, tout ça avec une guitare et un magnétophone. Mais les pistes de basse et de batterie sont vraiment remarquables. Écoutez ça aussi fort que vous le pouvez sans vous faire arrêter !

Dick Taylor, Greatest Hits

Trust

Pochette de l'album S. F. Sorrow

Comme « S. F. Sorrow » est en partie autobiographique, les sentiments exprimés dans cette chanson m’appartiennent. Quand votre confiance en quelque chose est rompue, ça vous touche au plus profond de votre être et ça remet en question vos croyances.

Phil May, Greatest Hits

I See You

Pochette de l'album S. F. Sorrow

Cas unique dans l’histoire des Pretty Things : I See You est d’abord sortie sur un album estampillé « Electric Banana » (le second) avant d’avoir les honneurs d’un disque officiel du groupe.

Baron Saturday

Pochette de l'album S. F. Sorrow

Occasion rare, sinon unique, d’entendre Dick Taylor prendre la place de Phil May pour pousser la chansonnette !