Les ressources sur les Pretty Things ne sont pas pléthore, mais elles existent ! En voici les références si vous voulez aller plus loin.
Pour commencer, il y a bien sûr les livrets des albums réédités chez Repertoire Records. Leur intérêt varie pas mal selon leur auteur, et ils tombent régulièrement dans la dithyrambe pure et dure, mais ils offrent beaucoup d’informations intéressantes. Je range dans cette catégorie le gros livre de 100 pages écrit par Mike Stax qui fait partie du coffret Bouquets from a Cloudy Sky, qui est à l’heure actuelle ce qui se rapproche le plus d’une biographie officielle du groupe.
Il y a également les articles de presse, suffisamment nombreux pour nécessiter une page dédiée.
En revanche, les livres consacrés aux Pretty Things ne sont hélas guère nombreux :
- Richie Unterberger, Urban Spacemen & Wayfaring Strangers: Overlooked Innovators and Eccentric Visionaries of ’60s Rock (2000). Ce livre sur les musiciens oubliés des années 1960 comprend un chapitre dédié aux Pretty Things.
- Alan Lakey, The Pretty Things: Growing Old Disgracefully, Firefly Publishing (2004). La première biographie du groupe, difficilement trouvable aujourd’hui. Une réédition est annoncée depuis longtemps…
- Mike Stax, Andy Neill et John Baker, Don’t Bring Me Down… Under, UT Publishing (2006). Une chronique très détaillée de la tournée néo-zélandaise de 1965, abondamment illustrée.
- Didier Delinotte, Les Pretty Things : une institution !, Camion Blanc (2015). La première biographie du groupe en français. Facile à dénicher, mais quel dommage qu’elle soit bourrée de fautes d’orthographe et d’erreurs de fond ! J’ai compilé toutes celles que j’ai pu trouver sur cette page.
- Bryan Morrison, Have a Cigar!, Quiller (2019). L’autobiographie du premier imprésario des Pretty Things revient dans ses premiers chapitres sur les folles années ’64-’66 du groupe.
- Peter Checksfield, Channelling the Beat!, Kindle (2019). Cet index de référence pour les passages à la télévision des artistes de la British Invasion consacre un chapitre aux Pretty Things.
Même du côté d’Internet, ça ne va pas chercher loin. Combler ce manque est d’ailleurs l’une des causes de la création de Defecting Grey !
- theprettythings.com, le site officiel des PT.
- Ils ont aussi une page sur le site du label Repertoire Records.
- Et comme tout le monde, une page Facebook officielle.
- pretties.de doit être l’un des plus vieux sites consacrés aux PT encore vivant. Sa propre liste de liens externes ressemble à un cimetière. La Wayback Machine vous permettra peut-être d’exhumer quelques corps…
- Les grandes bases de données musicales 45cat, Discogs, MusicBrainz et RateYourMusic recensent de manière extensive la discographie des PT. Utile pour les collectionneurs.
- Last.fm est sans doute le moyen le plus rapide d’entrer en contact avec d’autres fans. Quelques-uns, dont votre serviteur, fréquentent aussi SensCritique.
Pour les coupures de presse de magazines d’époque qui agrémentent les pages du site, je suis redevable :
- aux sympathiques contributeurs du forum rock6070 pour les revues en français ;
- aux incroyables sites 1960s Music Magazines et WorldRadioHistory.com pour les revues en anglais.
The Pretty Things speelde op
11 Februari 1966 in het Casino in Scheveningen met de Tee Set in het voor programma, ik was daar , info:
https://leiden.courant.nu/issue/LLC/1966-02-11/edition/0/page/6?query=
Hello John! I think I saw this article while browsing the Leidse Courant archives, but since it’s a bit long and I don’t speak Dutch at all (sorry for answering you in English, by the way), I must have left it aside. I have added this gig to the chronology. Thanks for the tip!