En ces temps étranges, je vous propose une nouvelle mise à jour de Defecting Grey pour vous changer les idées. Au programme :
- Une nouvelle charte graphique. Je sais, ça fait plusieurs fois que le site change de tête, mais cette fois-ci, je pense que ce thème est parti pour durer.
- Six nouvelles fiches : les biographies de Joe Shaw et Roelf ter Veld, les chansons Cause and Effect, Mr. Tambourine Man et Route 66, et le nouvel album solo de Jack Green, The Party at the End of the World, au titre étonnamment prophétique vu ce qui nous est arrivé depuis sa sortie.
- Un article qui tente de répondre à la question « Par où commencer pour découvrir les Pretty Things ? »
Bonne lecture et à très vite. Prenez soin de vous.
Bonjour,
Votre site est génial. Je me régale à le lire. Une sorte de Pretties Bible. En tous cas la récension la plus exhaustive et passionnée en français que l’on puisse trouver sur le net concernant ce groupe légendaire pour lequel je partage votre engouement. Et quel travail !
Je ferai mienne une partie d’un de vos commentaires « …Mais ils ont quelque chose qui n’appartient à eux, cette attitude de défiance constante, quasiment nihiliste, cette poisse phénoménale, cet oubli injustifié, cette pugnacité insubmersible… » en le complétant par la capacité qu’ils ont eut à l’instar des Beatles à se remettre en question en explorant de nouveaux genres musicaux souvent avec talent .
Mille fois merci !
Très cordialement
Christian
Merci pour ces compliments, ça me fait très plaisir ! Même si, hélas, être le meilleur site français sur les Pretty Things est chose aisée vu qu’il n’y en a pas vraiment d’autre.
Eh oui ! Il n’y a qu’un seul site français sur les Pretty things, et c’est le vôtre. Ça n’enlève rien à la qualité de ce qu’il propose et à l’intérêt qu’on peut lui porter. Vous avez comblé un vide pour notre plus grand plaisir.
Pour oser une comparaison sur le fait « d’être le seul à avoir fait… » et toutes propositions gardées, il n’y a aussi, dans son genre musical, qu’un seul album comme Astral Weeks. Et là on a à faire AU chef-d’œuvre de Van Morrison et à un des monuments du rock.
Cordialement