- Auteurs : Phil May, Dick Taylor
- Single : Come See Me / £.s.d. (1966)
- Durée : 2 min 23 s
- Éditeur : Dunmo Music Publishing
- En concert :
- Out of the Island (1987)
- On Air (1992)
- The BBC Sessions (2002)
- Live at the BBC (2015)
- Live at Rockpalast (2015)
- The Final Bow (2019)
- Compilations :
- Greatest Hits 1964-1967 (1975)
- The Vintage Years (1976)
- Attention! The Pretty Things! (1976)
- Closed Restaurant Blues (1985)
- Get a Buzz: The Best of the Fontana Years (1992)
- Unrepentant: The Anthology (1995)
- The EP Collection… Plus (1997)
- Latest Writs, Greatest Hits: The Best of Pretty Things (2000)
- The Psychedelic Years 1966-1970 (2001)
- The Very Best of The Pretty Things (2003)
- Come See Me: The Very Best of The Pretty Things (2004)
- Introducing The Pretty Things (2013)
- The French EPs 1964–69 (2017)
- Greatest Hits (2017)
- Reprises :
- The Desperates sur le single L-S-D / Stupidity (1966)
- The Krums sur le single L.S.D. / To a Blonde Girl (1966 ?)
- The Skins sur l’album Beat Party In Stereo Vol. 4 (1966 ?)
- Los Polares sur l’EP Que chica tan formal (1966) sous le titre La droga
- The British Modbeats sur l’album Mod Is the British Modbeats (1967)
- The Roadrunners sur la compilation V/A Get the Picture (1964-72) (1992, enregistré en 1966/1967)
- The Disciples sur l’album-hommage Not So Pretty (1995)
- NON! sur l’album Dé/composés (2013)
La livre sterling (symbole : £) est la monnaie du Royaume-Uni. À l’époque où les Pretty Things ont enregistré cette chanson, une livre valait 20 shillings (symbole : s), un shilling valait lui-même 12 pence (symbole : d), et il fallait donc 240 pièces de 1 penny pour avoir une livre. Ce système archaïque a été abandonné en 1971 : les shillings ont disparu et 1 livre vaut tout simplement 100 pence aujourd’hui. C’est tout de même plus simple, mais Phil May et Dick Taylor n’auraient pas pu jouer de la ressemblance avec l’acronyme du diéthylamide de l’acide lysergique, le fameux LSD.
Paroles et traduction
Ev’rybody’s talking ’bout my £.s.d.
I say talk is easy, money’s never free
£.s.d.
But I always tell them, life it ain’t so black
For ev’rything I’m given, something’s taken back
£.s.d.
Yes I need, £.s.d.
Man sits in his DB5, hasn’t got a care
He might be goin’ fast, but is he goin’ anywhere?
£.s.d.
Tout le monde fait que parler de mon £.s.d.
Moi je dis que c’est facile de parler, mais l’argent, ça vient jamais tout seul
£.s.d.
Moi je leur dis toujours, la vie c’est pas si noir
Tout ce qu’on me donne, on me reprend quelque chose en échange
£.s.d.
Oui j’en veux, £.s.d.
Le mec dans sa DB5, ça roule bien pour lui
Il va peut-être vite, mais est-ce qu’il va quelque part ?
£.s.d.