Pochette de Freeway Madness.

Cette histoire délirante de détournement d’avion est le seul titre de Freeway Madness à s’être fait une place durable dans le répertoire de scène des Pretty Things, peut-être parce que c’est celui dont le niveau d’énergie correspond le plus à l’image habituelle du groupe.

Paroles et traduction

I was encased in an aircraft
Feeling so sick I couldn’t say
When the cat next to me
Said let’s take it down to Cuba way
Well his manner wasn’t nice
But his hand grenades looked very mean
And the luger down his trousers
Well that was twice as obscene

When we touched down in Cuba
The temp was a 105°
Though the cantenna was closed
Even I was glad to be alive
As for two weeks in Miami
I sussed then that they were blown
Dr. Fidel wasn’t home
So they showed us where the sugar was grown

Havana bound hi-jacked by some joker
Took me down to Cuba
Where the grass was green

Well the passport man came up to me
And he really looked sly
Well he chalked on my valise
And then the cat let me by
Well I didn’t mean to immigrate here
I told him all so quiet
But he gave me my visa
But then he wanted me to buy it

Havana bound hi-jacked by some joker
Took me down to Cuba
Where the grass was green

J’étais coincé dans un avion
Tellement malade, t’as pas idée
Quand le gars à côté de moi
S’est écrié « direction Cuba ! »
Bon, ses manières laissaient à désirer
Mais ses grenades avaient l’air bien méchantes
Et le Luger dans son futal,
Ben c’était deux fois plus dégueulasse

Quand on a atterri à Cuba
Il devait bien faire 40°
Le bar avait beau être fermé
J’étais quand même heureux d’être en vie
Pour mes deux semaines à Miami
C’était visiblement foutu
Le docteur Fidel n’était pas là
Alors ils nous ont montré où le sucre poussait

Direction la Havane, détourné par un bouffon
Je me suis retrouvé à Cuba
Où l’herbe était verte

Alors le mec des passeports est venu me voir
Il avait l’air vraiment louche
Un coup de craie sur ma valise
Et il m’a laissé passé
« Euh, je comptais pas immigrer ici »
Je lui ai tranquillement expliqué
Mais il m’a donné mon visa
Et il comptait bien que je le paie pour ça

Direction la Havane, détourné par un bouffon
Je me suis retrouvé à Cuba
Où l’herbe était verte


Love Is GoodHavana BoundPeter

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