- Auteurs : Phil May, Peter Tolson
- Album : Cross Talk (1980)
- Durée : 3 min 13 s
- Éditeur : Lupus Music
- Compilations :
- Unrepentant: The Anthology (1995)
- Introducing The Pretty Things (2013)
Paroles et traduction
It was a grey dawn, penciled in lightly
The morning screamed, ‘neath the traffic’s feet
The razor burned commuters reflections
It didn’t seem a visual treat.
The office staff begin the humdrum
Making the hours and the money flow.
The guilty lovers keep their secret
And hope it doesn’t show.
Oh no, office love is such a bitch
Oh no, like a knife in the back
He catches the train up every morning
From his Croyden executive estate
He’s convinced he needs a new future
But she’s prepared to wait
He swears to step cleanly from a marriage
That’s become so tangled and confused
She knows he’s lying for his pleasures
He doesn’t see her cry.
He doesn’t see her die.
Oh no, office love is such a bitch
Oh no, like a knife in the back
She goes home, knowing that it can’t go on
Her secret fears become too strong
Seeing what little love she has she’s losing
He’s the type that manages to sleep at night
The guilt is safely locked away
But it was just another day, and he’s so tired.
Her heart seemed set on destruction
With lips drawn pale and thin
She offered up love like a sacrifice
And he was closing in.
Her mother sat on the end of the bed
Through the dark hours of the night
Wagging her finger saying « honey
This just isn’t right. »
Oh no, office love is such a bitch
Oh no, like a knife in the back
C’était une aube grise, dessinée au crayon
La matinée hurlait sous les pieds de la circulation
Les visages des employés, leurs joues abîmées par le feu du rasoir
Pas vraiment un spectacle réjouissant
Au bureau commence la routine
Faire passer le temps et l’argent
Les amants coupables gardent leur secret
Et espèrent que rien ne paraît
Oh non, les amours de bureau sont si merdiques
Oh non, comme un coup de poignard dans le dos
Il attrape le train tous les matins
En sortant de son appart’ de cadre à Croyden
Il est persuadé d’avoir besoin d’un nouveau futur
Mais elle est prête à attendre
Il jure de se sortir sans fracas d’un mariage
Devenu tout emmêlé et confus
Elle sait qu’il ment pour son propre plaisir
Il ne la voit pas pleurer
Il ne la voit pas mourir
Oh non, les amours de bureau sont si merdiques
Oh non, comme un coup de poignard dans le dos
Elle rentre chez elle, sait que ça ne peut plus durer
Ses peurs secrètes deviennent trop fortes
Elle voit qu’elle perd le peu d’amour qu’elle a
Lui, c’est le genre à s’endormir sans peine le soir
Sa culpabilité est bien compartimentée
Encore une journée de tirée, et il est si fatigué
Son cœur semble voué à la destruction
Les lèvres pâles et fines comme un trait
Elle offre son amour comme un sacrifice
Et il fond sur elle
Sa mère est assise au pied du lit
Dans les heures sombres de la nuit
Elle agite le doigt et s’écrie « ma chérie,
ça ne va pas du tout. »
Oh non, les amours de bureau sont si merdiques
Oh non, comme un coup de poignard dans le dos
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