Pretty Things Act in Movie
Cet entrefilet a paru dans le numéro de l’hebdomadaire britannique NME daté du 24 août 1968.
Cet entrefilet a paru dans le numéro de l’hebdomadaire britannique NME daté du 24 août 1968.
Cet entrefilet non signé est paru dans le numéro de l’hebdomadaire britannique Record Mirror daté du 3 août 1968.
Il fait le point sur l’actualité du groupe, à savoir le tournage du film What’s Good for the Goose, qui doit durer jusqu’au 16 août. Les Pretties doivent ensuite entamer l’enregistrement de leur quatrième album, S. F. Sorrow. Quelques dates de concert sont indiquées, dont la plupart seront annulées (le « Magical Mystery Tour » du 24 août) ou ne dépasseront jamais le stade du doux rêve (la tournée américaine censée commencer le 26 septembre).
Cet article de Derek Boltwood est paru dans le numéro 399 de l’hebdomadaire britannique Record Mirror, daté du 2 novembre 1968. Il s’agit en fait d’une colonne récurrente dans laquelle Boltwood présente chaque semaine des artistes débutants, ou un peu oubliés, ou un peu différents des idoles pop du moment ; en tout cas, des artistes qui appartiennent à cet univers diffus qu’est the underworld, le monde du dessous – on pourrait dire underground.
Fin 1968, les Pretty Things appartiennent définitivement à cette catégorie : ils sont loin, les jours où ils trustaient le sommet du hit-parade. Ils viennent de finir leur magnum opus, S. F. Sorrow, et Boltwood, qui a l’occasion d’écouter l’album en avant-première, adore. Il espère qu’il connaîtra le succès… espoirs déçus, bien entendu.
Cet article de Mike Clifford est paru dans le numéro 68 du mensuel britannique Beat Instrumental, daté de décembre 1968.
C’est la première fois que Jon Povey assure le chant principal avec les Pretty Things. Phil May trouvait cette chanson médiocre et n’avait aucune envie d’y participer.
C’est la première fois que Wally Waller assure le chant principal avec les Pretty Things. Phil May trouvait cette chanson médiocre et n’avait aucune envie d’y participer.