The Ballad of Hollis Brown

Pochette de l'album Balboa Island.
  • Auteurs : Bob Dylan
  • Album : Balboa Island (2007)
  • Durée : 6 min 29 s
  • Éditeur : Special Rider Music

L’une des chansons les plus sombres de Bob Dylan : le récit dépassionné de la ruine d’un fermier des Grandes Plaines, qui n’a plus d’autre échappatoire que de tuer sa famille avant de se suicider. C’est un choix de reprise approprié pour ce qui est sans doute l’album le plus sombre de la discographie des Pretty Things.

(Blues for) Robert Johnson

Pochette de l'album Balboa Island.

Difficile d’être un groupe de blues sans rendre hommage à la légende du genre, le mythique Robert Johnson (1911-1938), qui aurait vendu son âme en échange du succès. Tous les clichés sont au rendez-vous, du train qui s’éloigne en sifflant dans le lointain jusqu’à l’inévitable pacte avec le diable.

In the Soukh

Pochette de l'album The Sweet Pretty Things (Are in Bed Now, of Course...).

Avec un titre pareil, on serait en droit d’attendre une chanson très orientalisante, et elle l’est… mais pas tant que ça. Les chœurs qui harmonisent peuvent évoquer l’appel du muezzin, mais le groupe ne fait pas appel à des instruments exotiques, et dès les premières notes, difficile de s’y méprendre : la rythmique, c’est du pur Bo Diddley beat ! Drôle de fusion, mais venant de Dick Taylor, ce n’est pas si surprenant que ça.

Hell, Here and Nowhere

Pochette de l'album The Sweet Pretty Things (Are in Bed Now, of Course...).

C’est la première composition des Pretty Things signée par leur nouveau bassiste seul, et ça se sent : difficile d’y sentir la patte du groupe, moi elle me fait plutôt penser à du Stephen Stills. Mais ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose !