Pochette de l'album Parachute.

C’est un de mes enregistrements préférés des PT. Ça me rappelle de merveilleux souvenirs de nuits entières passées à travailler à Abbey Road avant de rentrer en voiture au petit matin pendant que les livreurs déposaient le lait devant les portes.

Phil May, Greatest Hits

Paroles et traduction

As silver tears they weave and lace,
Sad patterns upon her face,
She waits for you.
So low below a laser sun,
Through velvet fields she runs,
Reaching for you.

And so you bleed now,
Your hand holds the knife
That is tearing your life apart.
Why don’t you leave now,
The city’s too heavy
And your dreams they melt in the sun.

On mellow blue, birds curve and glide.
Through shadows of grief she slides,
She waits for you.
There on a hill before the dawn,
In silence a promise torn,
She turns from you.

And so you bleed now,
Your hand holds the knife
That is tearing your life apart.
Why don’t you leave now,
The city’s too heavy
And your dreams they melt in the sun.

As silver tears, they weave and lace,
She waits for you.
So low below a laser sun,
Reaching for you.
On mellow blue birds curve and glide.
She waits for you.
There on a hill before the dawn,
She turns from you…

Des larmes d’argent dessinent un entrelacs
Aux tristes motifs sur son visage
Elle t’attend.
Si bas sous un soleil de laser
Elle court à travers des champs de velours
Elle te rejoint.

Et tu saignes à présent,
Ta main refermée sur le couteau
Qui déchire l’étoffe de ta vie.
Pourquoi ne pars-tu pas à présent
La ville pèse trop lourd
Et tes rêves fondent au soleil.

Sur une toile bleu tendre, les oiseaux glissent et tournent
Elle traverse les ombres du chagrin
Elle t’attend.
Sur une colline, face à l’aube,
Une promesse silencieusement brisée,
Elle se détourne de toi.

Et tu saignes à présent,
Ta main refermée sur le couteau
Qui déchire l’étoffe de ta vie.
Pourquoi ne pars-tu pas à présent
La ville pèse trop lourd
Et tes rêves fondent au soleil.

Des larmes d’argent dessinent un entrelacs
Elle t’attend.
Si bas sous un soleil de laser
Elle te rejoint.
Sur une toile bleu tendre, les oiseaux glissent et tournent
Elle t’attend.
Sur une colline, face à l’aube,
Elle se détourne de toi…


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