Talkin’ About the Good Times

Pochette du 45 tours Talkin' About the Good Times / Walking Through My Dreams.

Ce deuxième single pour EMI est aussi représentatif de la fin des Sixties que Barbarella. Il y a pas mal de sons qu’on a utilisés sur « S. F. Sorrow » : le sitar, les harmonies compactes, le mellotron, les figures de guitare avec plusieurs cordes à l’unisson et une gamme mixolydienne à la fin, un vrai petit tour de force.

Dick Taylor, Greatest Hits

Defecting Grey

Matrice du 45 tours Defecting Grey / Mr. Evasion.

A House in the Country

Matrice du 45 tours A House in the Country / Me Needing You.

Cette reprise d’une chanson des Kinks fraîchement parue sur l’album Face to Face est imposée aux Pretty Things par leur maison de disques, Fontana Records, qui désespère de les voir accoucher d’un nouveau tube. Le succès n’est pas vraiment au rendez-vous.

£.s.d.

Pochette du single Midnight to Six Man / Can't Stand the Pain.

La livre sterling (symbole : £) est la monnaie du Royaume-Uni. À l’époque où les Pretty Things ont enregistré cette chanson, une livre valait 20 shillings (symbole : s), un shilling valait lui-même 12 pence (symbole : d), et il fallait donc 240 pièces de 1 penny pour avoir une livre. Ce système archaïque a été abandonné en 1971 : les shillings ont disparu et 1 livre vaut tout simplement 100 pence aujourd’hui. C’est tout de même plus simple, mais Phil May et Dick Taylor n’auraient pas pu jouer de la ressemblance avec l’acronyme du diéthylamide de l’acide lysergique, le fameux LSD.

Midnight to Six Man

Pochette du single Midnight to Six Man / Can't Stand the Pain.

Get a Buzz

Pochette du single Cry to Me / Get a Buzz.

I Can Never Say

Pochette du single Honey, I Need / I Can Never Say.