Rainin’ in My Heart (EP)
Rainin’ in My Heart est le deuxième EP des Pretty Things. Il est sorti en août 1965 au Royaume-Uni sur le label Fontana.
Rainin’ in My Heart est le deuxième EP des Pretty Things. Il est sorti en août 1965 au Royaume-Uni sur le label Fontana.
I Can Never Say est le deuxième EP français des Pretty Things. Il est sorti en 1965 sur le label Fontana.
Contrairement au précédent, Don’t Bring Me Down, c’est un EP qui n’a pas vraiment d’équivalent dans la discographie britannique du groupe. Il reprend sur sa première face les deux chansons de leur troisième 45 tours, Honey I Need / I Can Never Say, tandis que sa deuxième face présente deux chansons sorties outre-Manche sur l’EP Fontana 465 280 TE.
Et comme on est en France, ce n’est pas The Pretty Things, mais Les Pretty Things. Non mais !
Comme les autres EP français du groupe, I Can Never Say a été réédité en 2017 en édition limitée dans le coffret The French EPs 1964–69.
La chanson éponyme du groupe. Sa version originale, par Bo Diddley, est sortie en single aux États-Unis en novembre 1955. Bien qu’elle soit créditée à Diddley (sous son nom de naissance, Ellas McDaniel), celui-ci reconnaît par la suite que Willie Dixon lui en a fourni les paroles et une partie de la musique et qu’elle aurait dû lui être créditée à lui aussi.
Au Royaume-Uni, la chanson est éditée en 45 tours à la fin de l’année 1963. Les Pretty Things pouvaient difficilement faire l’impasse dessus pour leur premier album.
Bien qu’il soit crédité à Chuck Berry dans le livret de l’album, ce blues est en réalité une composition de Hudson Whittaker, plus connu sous le pseudonyme de Tampa Red, publiée en 78 tours en 1940 sous le titre Don’t You Lie to Me. Sa reprise par Chuck Berry, sortie en 1961 sur l’album New Juke Box Hits, a certainement contribué à populariser cette chanson, ainsi que l’idée erronnée que c’est lui qui l’a écrite.
Elle fait partie de ces chansons interprétées à la fois par les Pretty Things et les Rolling Stones. La version de la bande à Mick et Keith, enregistrée en 1964, n’a vu le jour qu’en 1975 sur la compilation Metamorphosis.